Je suis content car…

[killerklown]

Je parlais de mes problèmes avec mon employeur qui ne voulait pas m'accorder mon temps partiel lors de mon congé parental.
Un accord de principe a été lors de la réunion de ce matin (ou à mots couverts on sentait bien qu'ils avaient fait une connerie et le savaient) et si tout se passe bien, le problème devrait être réglé la semaine prochaine

[Cuchulain]

Content pour toi mon cher clown.

[Usher]

Content pour toi, Killerklown.

Une fois que ce sera fait, je ne saurais trop te conseiller d'être diplomate pour éteindre d'éventuelles rancunes…

[kynan²]

En fait, pleinement conscients de l'enfer d'un enfant en bas âge à la maison, ils tentaient de te protéger

[pitche]

car je retrouve Linkin Park à Werchter tout bientôt ce jeudi 03/07 !!

en 2017 c'était cela :
https://drive.google.com/file/d/1PlbDDd ... sp=sharing
RIP Chester Bennington

[Usher]

Je ne savais pas trop dans quel fil poster cela ; on va dire que "Je suis content car…" est le moins inapproprié…

Après une série d'ajournements d'audience, ma plainte en référé contre mon ex-éditeur devrait être mise en délibéré aujourd'hui. J'y réclame tout bêtement ce qu'il me doit. (Et même un peu moins, mon avocat m'ayant recommandé d'abandonner une créance sur des droits dérivés dont le mécanisme est difficile à expliquer à des juges non spécialisés en propriété intellectuelle, ce qui aurait pu affaiblir un dossier mis en délibéré en temps contraint…)
Je ne nourris guère d'espoirs pour la suite. La décision judiciaire me sera certainement favorable : après tout, j'ai respecté les mises en demeure légales et le montant de ma créance est la reprise des relevés de ventes fournis par l'éditeur. Reste qu'une mise en délibéré n'est pas encore une ordonnance de référé : la date sera sans doute remise à plus tard. Et de toute façon, l'éditeur est fauché. Même une décision en ma faveur ne me rapportera pas grand-chose… Du moins ce sera un premier pas. J'espère que le liquidateur judiciaire aura réussi à gratter quelques fonds de tiroir, mais comme les salaires, la justice et le fisc sont des créanciers prioritaires, de toute façon, je ne toucherai que de la menue monnaie…
Compte tenu de l'ampleur de l'ardoise laissée par l'éditeur, il n'est pas exclu qu'il risque une action en comblement de passif. (En d'autres termes, qu'il soit tenu de rembourser sur ses fonds propres une partie de la dette de sa société.) Mais là encore, il n'y aura probablement pas grand chose à récupérer.
J'attends donc l'ordonnance de référé sans me faire d'illusions. Mais au moins la justice sera passée.