2000 € pour tenter de sauver mon précédent chat... Vive la sécurité sociale.

Modérateur : Le Guet
2000 € pour tenter de sauver mon précédent chat... Vive la sécurité sociale.
3000€ pour tenter de sauver ma chienne avec 2 opérations, dont une la nuit du samedi au dimanche, des soins intensifs, etc.
Je ne comprends que trop bien depuis que tous les mois dans notre immeuble, un voisin au hasard se dit que rénover son appart de fond en comble serait une bonne idée. Afin de l'accompagner dans cette démarche : la voirie municipale refait 2x la place en bas de chez nous (oui car la première fois il avaient fait fumble !), ou refait la voie de bus en pleine nuit (oui-oui entre 0h et 2h du matin). Se joint ensuite à la fête les travaux de rénovation des ascenseurs (les /censurés/ qui avaient pris les mesures ont fait fumble eux aussi ! Du coup les pièces sont trop grandes... Donc il faut agrandir au marteau piqueur ! Pour le 2e re-belote mais cette fois ils ont eu l'idée de prendre des scies à béton !) Ça a duré 6 mois... Et les 2 ascenseurs sont tombés en panne 1 mois après les travaux de rénovation... Nous ça va on est au 6e étage, on est pas encore impotents... Mais monter un landeau au 15e dans les escaliers c'est sportif pour nos voisins. Ou aller au 12e quand on est une personne âgée c'est un peu compliqué.Usher a écrit : ↑31 oct. 2023, 05:19 Vos confidences me rappellent force merveilleux souvenirs ! Quand, il y a une dizaine d'années, les nouveaux voisins avaient littéralement éventré la maison mitoyenne à la nôtre pour la rebâtir de fond en comble. Les joies de la démolition du toit et de l'étage ! La bonne blague quand une fausse manœuvre dans la pose de leur poutre maîtresse avait percé notre pignon ! La facétie qui consistait à oublier de zinguer la base de leur nouveau pignon avec la bordure de notre toit, qui nous avait valu une vivifiante infiltration ! Et surtout, des mois de travaux, juste derrière le mur mitoyen de mon bureau ! La félicité de préparer des cours, corriger des copies et écrire de la fiction au milieu des hurlements d'ouvriers, de marteaux-piqueurs, de meuleuses, de perceuses, sans parler des trépidations mélodieuses de la bétonnière… Ah ! Quelle nostalgie ! Ce que je les ai aimés, mes chers voisins !