Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

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Khelren
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Khelren »

Je voulais faire depuis longtemps une mission pour Sig : la cité des lames, histoire de promouvoir ce jeu génial. En toute impartialité bien évidemment ! :mrgreen:
C'est à présent chose faite !

J'ai repris le cadre de ma proposition pour la 44e édition du concours de la Cour d'Obéron (souvenez-vous, c'était pour Blades in the Dark) et l'ai adaptée à Sig, ce qui était assez simple, puisque les deux jeux sont "forgés dans les ténèbres".
Comme toujours, vous allez râler sur le format et sur le fait que c'est pas un vrai scénario. Mais je continuerai encore et toujours à vous infliger ce genre de productions ! ;)
La bonne nouvelle, c'est qu'il y a moins d'explications à fournir que pour ma proposition précédente pour The Between : on a ici une structure moins spécifique. En gros, le scénario dispose d'un synopsis, de trois mécènes qui servent d'accroches, de trois missions, et enfin de trois complications. Ces trois options permettent à chaque fois de piocher celle qui parle le plus au MJ et à la table, histoire de rejouer ce scénario sans avoir trop d'effet de répétition.
Les horloges (politique, de profit et de péril) sont des éléments spécifiques à Sig : ils permettent de suivre la progression de la mission et sa réussite.

Bref, voici Le frisson a disparu pour Sig : la cité des lames :
https://drive.google.com/file/d/1CZfOpp ... sp=sharing

(Il se peut que des paroles de chansons de blues se soient glissées dans la proposition, ne faites pas attention, c'était pour le fun, mais félicitations si vous les décryptez !)
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FaenyX
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par FaenyX »

Mais...mais... en voilà des façons, m'sieur Khelren, de dégainer aussi vite.
J'en suis à peine au stade du "est-ce que cette idée est viable, non ça va pas du tout, ah tiens si je changeais ça pour voir ?". :mrgreen:
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Tad Moualh »

Khelren shot first !
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Khelren
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Khelren »

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Message par pitche »

Et Khelren est dans l'air du temps, il fait du "recyclage" :)
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Mortlock »

Je n'ai aucun début debout idée mais je vais essayer de revenir sur la Cour par la porte du Concours ^^ Sait on jamais. Peut être que le sujet me fera sortir de mon blues d'écriture :)
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Tad Moualh
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Tad Moualh »

Et bien : degemer mat !
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Kérosène »

Mortlock a écrit : 11 juin 2023, 22:25 Je n'ai aucun début debout idée mais je vais essayer de revenir sur la Cour par la porte du Concours ^^ Sait on jamais. Peut être que le sujet me fera sortir de mon blues d'écriture :)
Ohouiohouiohoui !
Tremblez devant Kérosène la Virgulicide !
Il faut des lâches vivants pour narrer les exploits des héros morts.
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Mortlock »

Merci les copains ! Bon ce sera, peut être du tentacule mort mais pas trop encore que... du Cthulhu quoi. ^^
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FaenyX
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Message par FaenyX »

Et voici ma petite proposition, que je préfère poster maintenant (je n'aurai pas le temps de l'enrichir et de la peaufiner autant que j'aurais voulu d'ici la fin du mois). Il s'agit d'un scénario pour Maléfices, qui peut fort bien être adapté à d'autres univers, même sans fantastique (vous comprendrez en le lisant ;) ).
Il peut nécessiter une bonne dose d'improvisation de la part du MJ.
Pour plus de confort de lecture, je dépose en pièce jointe une version pdf de ce texte. Bonne lecture !


Le vieux soldat

Scénario Maléfices

Une trentaine d’années plus tôt
1870 : l’armée française est en déroute et Paris est sous la menace prussienne. Napoléon III a capitulé à Sedan et le gouvernement provisoire a continué la guerre, qui se soldera quelques mois plus tard par la défaite et l’humiliation française.

Lors de la bataille de Saint-Quentin (1871), le Lieutenant Jean-Bastien Malembert, après s’être acharné à tenir sa position, est fait prisonnier avec ce qui reste de ses hommes. Dans le camp où il est détenu (en Prusse), il fait la connaissance du Capitaine Charles Pelletier et se lie d'amitié avec lui. Quelques semaines plus tard, les deux hommes tentent de s’évader, mais sont repérés. Pelletier est abattu tandis que Malembert réussit à s’en sortir.
1872 : revenu à Paris, Jean-Bastien Malembert rencontre les parents de Pelletier et leur raconte l’héroïsme de leur fils. Peu à peu, se fait une place dans la famille de ce dernier. Il rencontre la fiancée de Charles, Emma de Fréville, qui se prend d’affection pour lui.
1873 : la mère, puis le père de Pelletier décèdent et le Colonel Malembert hérite de leur hôtel particulier et de leur fortune.
1874 : Jean-Bastien Malembert épouse Emma. Deux enfants naîtront de leur union.
1895 : Le Colonel Malembert quitte le service actif et se retire dans son hôtel particulier
1898 : Emma, l’épouse du Colonel, décède de la tuberculose.
1901 : Le Colonel Malembert est un vieil homme. Ses deux enfants ont quitté la maison (son fils est une jeune officier prometteur et sa fille a suivi son époux, armateur, à Marseille). Il a gravi les échelons de la hiérarchie militaire, a réussi sa vie, mais aujourd’hui, il a peur.
Peur de devenir fou.

Note au Meneur de Jeu : n’hésitez pas à modifier les dates des derniers événements : elles ne sont en aucun cas impératives.

La veille au soir, Le Colonel Malembert a congédié sa domesticité, en proie à une crise de folie furieuse. Puis, il s’est effondré, dévoré par la terreur.
Le lendemain, Hubert, le fils du Colonel, a rendu visite à son père, pour le saluer avant son départ (il vient d’être affecté à Djibouti). Il a découvert la situation et solliciter un ou plusieurs de ses amis : les PJ entrent en scène.
Hubert quitte la métropole et aimerait qu’ils gardent un œil (voire les deux) sur son père durant son absence. Qu’arrive-t-il au vieux soldat ?

Autres possibilités d’implication des personnages
Si vous n’êtes pas très friand de l’introduction proposée (pourtant monnaie courante à Maléfices), voici quelques autres possibilités.
L’un des PJ peut être apparenté au Colonel Malembert (directement ou non), ou être un de ses amis et, en lui rendant visite, découvrir l’état dans lequel il se trouve. Il est aussi possible que l’un d’entre eux soit un voisin du Colonel et ait entendu les éclats de voix, ce soir-là
Ces derniers jours, la santé du Colonel lui a joué des tours : suite à un malaise qu’il fit lors d’une promenade, il a dû rester au repos, sur ordre de son médecin. Si l’un des PJ a embrassé une carrière médicale, il peut être ce praticien et connaître ce patient depuis plusieurs années. Un personnage lié, de près ou de loin, à l’Armée Française, peut connaître le Colonel et avoir gardé des liens d’amitié avec lui : une visite de courtoisie est tout à fait naturelle.
Très ouvert, le scénario laisse les personnages libres de leurs actes, dans un premier temps

Le vieil homme et la mort

Au(x) PJ qui le visitent ce jour-là, le Colonel Malembert paraîtra vieilli, usé, souvent confus et sur les nerfs. Sa raison semble chanceler et lui soutirer des informations peut s’avérer compliqué, tant il oscille entre détresse et colère. A force de compassion et de patience, on peut obtenir de lui les confessions suivantes (dans l’ordre de difficulté d’obtention) :
• Il a congédié (la veille) sa cuisinière, son valet et sa femme de chambre, convaincu qu’il était qu’ils l’ont volé. Il les a surpris plus d’une fois chuchotant dans son dos et se taisant chaque fois qu’il les voyait. Le Colonel justifiera (maladroitement) sa décision, en expliquant qu’il n’avait plus confiance en eux depuis quelque temps. Il est facile de se rendre compte qu’il le regrette déjà.
• Plusieurs objets auxquels il tenait ont disparu : il pourra citer son sabre d’ordonnance et un de ses pistolets
• Ces dernières nuits, il a entendu des murmures et des voix : sans doute s’agissait-il des domestiques (le Colonel sait qu’il n’en est rien, puisque les voix ont continué de parler après leur départ).
• En se levant en pleine nuit, avant-hier, il a vu une silhouette dans le parc
• Enfin, depuis une quinzaine de jours, il est la proie de terribles cauchemars, qui l’éveillent au milieu de la nuit, et dont il ne garde aucun souvenir

Un fantôme aux Tuileries ?

Un autre incident notable s’est déroulé trois jours plus tôt. Le Colonel a fait un malaise, lors de sa promenade habituelle dans le jardin des Tuileries. Il a vu, devant lui, Charles Pelletier, qui le fixait. Sous le choc, Malembert s’est évanoui. Des promeneurs l’ont pris en charge et il a été raccompagné chez lui.
Son médecin a mis ce malaise sur le compte du cœur usé du Colonel et a prescrit du repos et un fortifiant au Colonel. Ce dernier s’enferme chez lui, persuadé d’avoir vu un fantôme, mais garde le secret sur son passé. Il s’efforce de faire bonne figure et tâche de se raisonner. A moindre d’y être acculé, il prétend que c’est la fatigue et peut-être la chaleur qui ont causé son évanouissement (qu’il minimise).
Si l‘un des PJ est le médecin du Colonel, il aura connaissance de cet incident. La bouteille de fortifiant (la fameuse Quintonine) est bien visible chez le Colonel et il expliquera sa présence par le fait qu’il ait fait un malaise récemment.

Interroger les domestiques
Au service du Colonel depuis toujours ou presque, les trois domestiques ont été les victimes de la situation. Les retrouver est possible mais leurs réactions peuvent varier (notamment selon l’approche des PJ) :

-Victoire, la femme de chambre, s’est réfugiée chez Armand Poitevin, un ouvrier manœuvre sur le chantier du métropolitain. Ce dernier est furieux et se recommander du Colonel est le meilleur moyen de s’en faire un ennemi féroce (et costaud).
Victoire pourra raconter qu’elle a ramassé une carte à jouer tombée au sol, dans la chambre du Colonel. Voyant cela, le vieil homme s’en est emparé en tremblant et a vilipendé la jeune femme.
-Hector, le valet du Colonel, fut sous ses ordres jusqu’à sa retraite. Ce vieux soldat donnerait sa vie pour Malembert. Il est prêt à revenir à son service dès que possible : le Colonel n’était plus lui-même quand il mit sa domesticité à la porte.
-Apolline, la cuisinière, est peinée de s’être vue congédiée, après tant d’années de service. Sous ses dehors butés, elle garde de l’affection pour le vieil homme et pourra aisément être convaincue de reprendre son service, pour peu que la demande vienne du Colonel.
Tous les domestiques nient avoir volé quoi que ce soit chez le Colonel et avoir comploté contre lui. Par contre, ils peuvent témoigner de la dégradation récente de sa santé mentale et ont mis cela sur le compte de son âge et des épreuves.

Ce qui s’est (vraiment) passé en 1871 (et après) de l’autre côté du Rhin

Il est temps d’en apprendre plus sur ce qui s’est passé trente ans plus tôt, en Allemagne.
Charles Pelletier n’est pas mort sous les balles des gardiens. Il s’en fallut de peu, mais il survécut à la balle qui faillit le tuer. Dans l’hôpital militaire où il séjourna, il dut la vie aux médecins qui le prirent en charge et, surtout, à l’infirmière qui veilla jour et nuit ce blessé français, frappé d’amnésie.
Charles Pelletier ne quitta jamais l’Allemagne et ne guérit jamais tout à fait de ses blessures, dont celle faite à son honneur, quand il fut abandonné en territoire ennemi par celui qui se disait son ami. N’ayant pas recouvré toute sa mémoire, il changea de nom. Il devint Karl Pellter et vécut (presque) heureux, en Bavière.
Avec l’âge, sa santé se dégrada et il mourut dans les bras de Franz, son fils, en prononçant un nom : Malembert.
Intrigué Franz commença une longue enquête et décida de se rendre en France pour en apprendre plus sur le passé de son père. Rapidement, il découvrit que Charles Pelletier avait tout perdu et qu’un autre avait pris sa place. Pour laver l’affront fait à l’honneur de son père, il décida de le venger…

Franz Pellter
S’il est physiquement le portrait craché de son père, Franz a développé une psychose que ce dernier n’aurait peut-être pas cautionnée. Il a accumulé la rancune et est persuadé que Malembert a volé la vie à laquelle avait droit Pelletier. Peu à peu, ce ressentiment s’est changé en psychose.
Arrivé en France depuis quelques semaines, Franz a commencé son “pèlerinage” en se rendant dans l’Aisne et a découvert le nom de son père sur un monument aux Morts de la bataille de Saint-Quentin. D’abord intrigué, il rejoignit Paris pour mener son enquête. Peu à peu, il comprit ce qui s’était passé : Jean-Bastien Malembert, après avoir lâchement abandonné son ami, lui avait volé sa vie.
Mais l’heure était venue de rendre justice.
Il a retrouvé sans peine l’adresse de Malembert et s’est introduit dans l’hôtel particulier du Colonel (à la faveur d’une livraison de charbon, deux semaines plus tôt), la maison qui aurait dû être la sienne. Sur place, il a chipé une des clés de la cave. Depuis, il renouvelle régulièrement ses visites et joue avec les nerfs du vieux Colonel. Il compte aller jusqu’au bout.

La carte venue du passé
Au cours d’une de leurs visites au “malade”, les PJ (ou une partie d’entre eux) vont être témoins d’une scène inquiétante. Alors qu’il raccompagne ses visiteurs, le Colonel découvre, glissée sous la porte d’entrée de son domicile, une carte à jouer (la dame de trèfle) trouée. Lorsqu’il la ramasse, le vieux soldat se met à pâlir et à trembler comme une feuille. Il s’en faut de peu qu’il ne s’écroule.
Inutile de dire que les PJ devraient s’étonner. En interrogeant habilement Malembert, ils vont en savoir un peu plus (mais pas tout) ;
• Le Colonel a déjà trouvé une carte du même type, posée sur son lit, deux jours plus tôt (il s’agissait du roi de cœur)

Bien qu’elle puisse constituer une fausse piste amusante, la valeur des cartes n’a aucune importance. Par contre, l’apparence du jeu l’est.
• Il s’agit de cartes à jouer assez anciennes, jaunies par le temps et usées.
• Elles comportent toutes un trou, visiblement produit par un projectile, sans doute une balle de fusil (étant données les brûlures visibles)

En interrogeant le Colonel (pour peu qu’il ne se soit pas braqué contre les PJ et que ceux-ci fassent montre de diplomatie à son égard), les PJ apprendront qu’il connait ce type de jeu de cartes.
Lorsqu’il était prisonnier en Allemagne), il partageait avec quelques autres officiers capturés le goût du bridge.
Interroger le Colonel au sujet de cette époque de sa vie est une bonne façon d’obtenir de nouvelles informations. Une fois mis en confiance (oubliant la peur du ridicule), il racontera ce qui a causé son malaise des Tuileries : il a vu un fantôme, ou plus exactement, il a vu quelqu’un qu’il a vu tomber, trente ans plus tôt, sous les balles prussiennes : Charles Pelletier, son ami.

Il ne se laissera aller à plus de confidences qu’avec des PJ particulièrement compréhensifs. Encore une fois, il faudra compter avec ses sautes d’humeur.
Mais, à ce stade du scénario, les PJ devraient avoir compris que le Colonel et sa maison sont hantés, chacun à leur manière.

Surveiller les alentours

Franz a réussi sans mal à se faufiler dans la grande maison et s’y déplace habilement. Il est évidemment souhaitable qu’il ne soit pas attrapé trop rapidement par des PJ à l’affût.
Franz est mû par la colère et n’aura de cesse qu’une fois le Colonel définitivement abattu. Il s’est introduit nuitamment dans la maison et y a dérobé divers objets.
Conseil au MJ : si les personnages décident de séjourner chez le Colonel (ce dernier peut les en prier), ils peuvent être les témoins de ces phénomènes étranges, pour peu que Franz n’ait pas connaissance de leur présence. Son but est de s’en prendre à Malembert, ne l’oublions pas !

Si les PJ sont discrets, ils pourront (au choix du MJ) :
• Entendre des gémissements (Franz utilise les tuyaux du calorifère, situé dans la cave
• Discerner des bruits de pas (il se cache au grenier)
• Trouver des cartes à jouer (perforées) ça et là dans la maison
• Apercevoir le « fantôme » dans le parc (à la nuit tombée).
Jouant de sa ressemblance avec son père, il a revêtu l’uniforme de ce dernier et se montre dans le jardin de l’hôtel particulier, à la lueur de la lune.

Franz compte porter le coup fatal au Colonel en se glissant dans la chambre de ce dernier. Voyant le fantôme de celui qu’il trahit autrefois, Malembert pourrait bien voir son cœur défaillir, définitivement cette fois.
Espérons qu’à cet instant, les personnages ne soient pas trop loin et qu’ils réagissent vite : la vie d’un homme est en jeu !

Si vous souhaitez injecter plus de fantastique, c’est le moment : alors que Franz s’avance vers Malembert, bien décidé à lui porter le coup fatal, une forme à peine visible semble apparaître. Ceux des PJ qui réussiront un jet de Spiritualité distingueront la silhouette d’un homme, retenant Franz et l’empêchant de s’en prendre à Malembert. Stupéfait, le jeune homme tombera à genoux en murmurant “Vater…(père, en allemand”. En cas d’échec au jet de Spiritualité, la scène sera plus confuse et les PJ resteront perplexes : que s’est-il passé, à la lueur chiche de la lune, dans la chambre du Colonel ?

Les enjeux du scénario sont multiples, pour les PJ. Comprendront-ils ce qui se passe, dans la tête du vieux Colonel Malembert ? Est-il en proie à la folie ? En plus de la compréhension du mystère, il y va de la raison (et sans doute de la vie) d’un homme. Et, au-delà, il s’agit aussi de rendre justice à celui qui fut oublié de tous.
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Message par Kérosène »

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Message par Kérosène »

Hello les amis ! Le temps s'égrène et la date limite, ferme et gravée en lettres de feu dans le marbre, s'approche.
Un petit report serait-il à l'ordre du jour ?
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par pitche »

Hey,


Ayant un peu un rythme de vie, en mode stand bye, je sollicite un délai supplémentaire pour rendre un scénario WJDR qui traîne dans ma tête et pas encore dans les doigts du dactylographe que je suis ;)

Merci d'avance :)

PS : mon scénario Capitaine Vaudou navigue lui aussi sur une mer d'huile ; manquant d'huile de coude pour arriver à bon port!
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Kérosène »

Comment ? Un délai ? Bigre, il faut que je consulte le règlement pour voir si on peut. :lol:

Comme c'est l'été épitoussa, je vous propose d'attendre la rentrée et de rendre vos copies au plus tard le 15 septembre.
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Mortlock
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Re: Le 53ème Concours de Scénarios vous attend !

Message par Mortlock »

Hé hé ! Un délai n'est en aucun cas un habitude en ces lieux mais j'essayerai d'en profiter tout de même ^^ :mrgreen:
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